Temps de lecture : environ 5 minutes

Joëlle Tourangeau

Adjointe aux Communications, Communications stratégiques

Chaque été, la Commission de la capitale nationale engage plus d’une centaine de personnes qui sont encore aux études. Pour nombre d’entre elles, travailler à la CCN est une porte d’entrée dans la fonction publique. Parfois, c’est aussi une première expérience dans leur domaine d’études.

J’ai moi-même déjà été embauchée comme étudiante : au parc de la Gatineau et dans l’équipe des communications stratégiques. J’avais donc hâte de rencontrer des personnes qui ont travaillé à différentes directions de la CCN pendant leurs études, pour savoir comment elles avaient trouvé cette expérience. La variété des emplois offerts m’a surprise : il y en a pour tout le monde!

Emma Zacharias (elle), emploi étudiant en architecture paysagère

À gauche : égoportait d’Emma Zacharias dans la nature. À droite : cellulaire, notes manuscrites et stylo d’Emma, sur le gazon.

Deuxième année à la maitrise en architecture paysagère, à l’Université de Guelph

J’ai travaillé à la Direction de l’aménagement de la capitale, pour qui je faisais l’inventaire de la végétation entourant la promenade Sir-George-Étienne-Cartier. Une chose que j’ai vraiment aimée, cet été, c’est de découvrir autant de sentiers et de parcs dans l’est de la ville – loin du secteur ouest, où j’ai grandi. Il y a tellement d’endroits super que je ne connaissais pas dans la région de la capitale nationale!

Travailler à la CCN m’a réellement permis de voir sous un autre jour cette capitale que nous connaissons bien et que nous et aimons.

Gabriela Aguilar Giron (elle), emploi étudiant en modélisation 3D

Gabriela Aguilar Giron à son poste de travail.

Quatrième année au baccalauréat spécialisé en science du bâtiment, au collège Algonquin

Pour être bien honnête, juste avant de commencer mon stage coop je n’étais pas certaine d’être faite pour ce domaine. J’aimais tout ce que j’apprenais en classe, mais l’idée de le mettre en pratique m’intimidait. Mais dès que j’ai eu la chance de travailler à la CCN, j’ai su que j’avais choisi le bon métier. On m’a mise dans une équipe formidable qui avait de vastes connaissances du domaine. J’ai ainsi pu améliorer mes compétences, apprendre un nouveau logiciel et utiliser des méthodes qui sont essentielles à l’accomplissement de tâches courantes dans mon secteur d’activité.

Jack MacMillan, emploi étudiant en analyse de données

À gauche : égoportait de Jack MacMillan. À droite : la main de Jack tenant un compteur électronique dans un champ.

Diplôme en psychologie et première année au baccalauréat en sciences politiques et élaboration de politiques, à l’Université Carleton

J’aime les statistiques et les tableurs Excel. Mon travail au sein de la direction de l'audit, de la recherche, de l'évaluation et de l'éthique m’a donné la chance de me pencher sur des tableurs complexes et d’aller sur le terrain pour collecter les données de divers compteurs. En travail à l’intérieur et à l’extérieur, j’avais le meilleur des deux mondes.

Appuyer les projets que la CCN met de l’avant, dans la région de la capitale nationale, m’a procuré un sentiment de réalisation. Mes rapports hebdomadaires étaient revus par les personnes qui me supervisaient, puis soumis directement à la haute direction. J’ai accompli un travail qui aide la CCN à prendre des décisions éclairées pour ses projets futurs, et je pourrai en voir les effets durables.

Lauren Filletti (elle), emploi étudiant en communications stratégiques

À gauche : égoportait de Lauren Filletti. À droite : Lauren prenant une photo en contre-plongée des ruines du domaine Mackenzie-King.

Quatrième année en sociologie et sciences politiques, à l’Université d’Ottawa

Ce que j’ai aimé le plus de mon travail à la CCN, c’est de pouvoir interagir avec la population et les différents secteurs de la région de la capitale nationale. Au cours de l’été, j’ai pu échanger avec le public sur les plateformes de médias sociaux où la CCN est active. Mon projet préféré a été la création du Guide Instagram des tulipes, ma première tâche de création de contenu. Ce guide a beaucoup plu et suscité de la participation.

La CCN m’a appris comment mettre ma créativité à profit pour créer des contenus intéressants, tout en donnant au public l’information qu’il veut et dont il a besoin.

Leo Cox (iel), emploi étudiant aux terrains de Rideau Hall

Texte de remplacement : Leo Cox repeignant une borne Fontaine à Rideau Hall pour la revitaliser.

Quatrième année en archéologie, à lUniversité Memorial

Travailler à l’entretien des terrains est demandant, mais amusant. Ce ne sont pas les nouveaux projets qui manquent! Mon préféré a été la transformation de toutes les bornes-fontaines de la CCN en remplaçant la vieille peinture multicolore qui s’écaillait par des couleurs brillantes et nettes. C’était beaucoup de travail, et il y avait beaucoup d’outils à manipuler et d’étapes, mais le résultat est tellement... wow! De nombreuses personnes s’arrêtaient pour me parler de la nouvelle apparence des bornes, à mesure que le projet avançait.

J’aime que mon travail ne passe pas inaperçu. C’est gratifiant d’accomplir une tâche qui parait!


Renaud St-Onge (il/lui), emploi étudiant à l’accueil

Renaud St-Onge, agent expérientiel au parc de la Gatineau, à l’entrée du domaine Mackenzie-King.

Deuxième année à lÉcole des sciences infirmières de lUniversité d’Ottawa

Mon plus grand plaisir, au travail, a été de parler aux nombreuses personnes qui venaient au parc de la Gatineau et de leur présenter ses divers attraits. Pour les gens aux études qui aiment être dehors et accordent de l’importance à la conservation de la faune et de la flore, je trouve que c’est un travail idéal.

Travailler à la CCN m’a permis d’acquérir des connaissances entouré de la beauté de la région de la capitale nationale.

Sophie Brett (elle), emploi étudiant à la coordination de la fermeture de la promenade, programme des vélos-weekends

À droite : gros plan de Sophie Brett. À gauche : promenade Sir-John-A.-Macdonald sans autos pendant les vélos-weekends

Quatrième année en sciences politiques, à l’Université Carleton

Travailler dans le cadre d’un programme qui libère la route des autos et encourage les gens à se déplacer à pied ou à vélo est très satisfaisant. Ça donne un aperçu de l’avenir de la région. Occuper un poste d’étudiante à la CCN m’a donné la chance de travailler avec d’autres personnes aux études, comme moi, et d’apprendre de celles qui me supervisaient.

Le projet le plus amusant et le plus satisfaisant auquel j’ai pris part a été l’activité Partageons les sentiers. Et il y a beaucoup d’autres nouvelles expériences semblables en vue.

Vous voulez faire partie de l’équipe?

Il y a des postes contractuels à pourvoir toute l’année pour les personnes aux études. Surveillez la section Perspectives de carrière de notre site Web pour ne pas manquer le prochain affichage.

Avis sur l’utilisation de témoins (cookies) : Ce site Web utilise des témoins (cookies) pour connaître les habitudes de navigation des visiteurs. Les témoins aident la CCN à améliorer ses services et la valeur de ses contenus. Lire notre politique sur la protection des renseignements personnels.