Ce travail comprenait ce qui suit :
- l’ensemencement des lieux avec des graines de plantes indigènes de l’Ontario, sélectionnées en collaboration avec la Fédération canadienne de la faune et des naturalistes de la région;
- la création de deux prés en introduisant des plantes indigènes que les pollinisateurs aiment, comme des asters et des asclépiades;
- l’ajout de débris ligneux.
Cette restauration a donné de bons résultats. En effet, les végétaux ont bien poussé dans près de 80 % du secteur. L’Université d’Ottawa assure la surveillance des deux endroits pour savoir quelles espèces pollinisatrices sont présentes dans ces habitats restaurés. Des papillons monarques et d’autres pollinisateurs, comme l’abeille solitaire, y ont été observés se nourrissant.